Image : Vincent WR

Comment définir les mobilités douces?

Ce sont tous les modes de transports respectueux de notre environnement.

Motorisé ou non, demandant un effort physique ou utilisant un carburant moins polluant, le moyen dit “clean” que je choisis aura un impact réduit sur le contexte urbain. Ces dernières années, il y a eu de nouvelles offres avec un succès plus ou moins au RDV.

Le vélo, une mobilité douce.

Le vélo a toujours été utilisé lorsque les distances et les infrastructures le permettaient. Il a connu une envolée ces derniers mois avec les politiques de villes aménagées suite à la pandémie du COVID 19. La création de pistes cyclables plus larges, la réservation de couloirs spécifiques aux cyclistes, la prime de remise en état des vélos aux particuliers, … favorise l’utilisation de ce moyen de transport. Ceci a une double conséquence : un impact environnemental et sur la santé publique. L’activité physique en est favorisée.

Avec cette hausse d’utilisation du vélo, d’autres problématiques sont apparues : le code de la route pour les cyclistes. Les règles de bases sont bafouées car on peut slalomer entre les voitures, profiter d’un cédez-le-passage aux feux tricolores, des dépassements hasardeux, …

Par ailleurs, un certain nombre de sanctions sont prévues par le gouvernement français dont certaines, je pense, peu connues du grand public. Pour en citer quelques unes :

• Remonter les files par la droite : 135 €
• Non respect de la priorité de passage à l’égard des piétons : 135 €
• Circuler sur le trottoir en agglomération : 135 €

• Tenir en main son téléphone ou porter des écouteurs : 135 €

  ... Source : https://www.securite-routiere.gouv.fr/reglementation-liee-aux-modes-de-deplacements/velo/regles-de-circulation-pour-les-cyclistes

Personnellement, j’utilisais beaucoup le Vélib de JC Decaux et il y a eu la reprise par Smovengo, devenu propriétaire en 2018. J’ai fait plusieurs tests jusqu’à la fin de mon abonnement en septembre 2019 avec cette question : ai-je envie de renouveler l’expérience pour un an? La réponse a été immédiate : non, je préfère marcher et envisager l’achat d’un vélo personnel.

Comment choisir un bon vélo?

J’ai bien un vieux vélo qui a déjà connu plusieurs réparations (merci le coup de pouce vélo!) Pour information, la subvention est valable jusque fin décembre 2020. Toutes les infos sont ici. C'est plutôt un vélo qui me permet de faire les quelques courses en centre-ville mais pas de grandes randonnées de plusieurs heures.

Je souhaite donc avoir un vélo sur lequel je peux vraiment compter pour des balades un peu plus longues et des sentiers plus accidentés que le bitume tout lisse.

Pour m’aider à choisir le bon type de vélo, j’ai trouvé une vidéo de l’UFC Que choisir que je trouve très bien faite et qui explique les différents usages. Lien

En lisant plusieurs articles sur le sujet, j’ai découvert qu’il fallait :

• plutôt avoir une position penchée vers le guidon, la selle étant un peu plus basse, pour faire de long trajet et moins solliciter le dos.
• un vélo avec un cadre triangulaire avec la barre droite pour une meilleure longévité et résistance aux vibrations.

Si vous cherchez un vélo de route, je vous conseille ce site internet qui en fait la comparaison : Lien

Et pour finir sur le choix de l'équipement, il y a tout ce qui vient en plus du vélo et qui permet de rouler en toute sécurité. Ce dessin résume bien les accessoires obligatoires et recommandés. Encore une fois, certains méritent de s'y attarder : le gilet jaune hors agglomération ou une sonnette en état de fonctionnement.